Premier roman de Jean Calembert, « Joe Hartfield, l’homme qui voulait tuer Donald Trump » a un titre qui sonne comme un thriller, et pourtant rien à voir… même si il y a bien un épisode sur la tentative d’assassinat qui vaut son pesant d’humour.
L’histoire tourne autour d’une série de personnages que nous suivons dès leur grande adolescence et pendant une partie de leur vie, des récits qui s’entrecroisent au départ d’un séjour de Jean aux Etats-Unis et de ses rencontres amoureuses ou profondément amicales. Joe, l’ami noir qui sera au centre du livre, mais aussi Marcus, Marlène et les autres… (Il y a un petit côté Claude Sautet d’Outre-Atlantique dans ce récit aux allures de « Vincent, François, Paul… et les autres »).
Ce qui happe le presque septuagénaire que je suis dans ce récit, c’est la fascination que les noms évoqués éveille : Ferré, Pink Floyd, John Lennon, Los Angeles, New York où Jean a (aurait) vu Coltrane au Village Vanguard (car souvent on se demande où est le réel et où est l’imaginaire dans ce récit auquel on voudrait croire de A à Z). Et si ce livre a sa place sur le site de JazzAround/Jazz'halo, c’est parce qu’il est rythmé par le jazz et le blues : Coltrane déjà cité, mais aussi le Quintet de Miles Davis, Thelonious Monk, Chet Baker… qu’on se passerait bien pendant la lecture…
Aussi parce qu’il aborde le quotidien du peuple noir américain à qui cette musique colle à la peau. Mettre un disque de Monk dans le lecteur, je ne l’ai pas fait, plongé que j’étais dans la lecture… Sans me poser la question du vrai ou du faux, tant j’aurais aimé y être aussi dans cette espèce de rêve américain et ces beaux instants de nostalgie.
© Jean-Pierre Goffin
Une collaboration JazzAround/Jazz'halo
Jean Calembert © Joël Kockaert
Jean Calembert est né à Liège en août 1942. Il vit aujourd’hui à Bruxelles et à Laborel (Drôme Provençale).
Docteur en droit, expert en marketing et en études de marché, il a travaillé dans des multinationales et dans des PME familiales avant de créer sa propre société à Anvers. Il a fait plusieurs expositions de photos et de tableaux.
« Joe Hartfield, l’homme qui voulait tuer Donald Trump » est son premier roman. Le tapuscrit a été rédigé d’une traite entre le 4 août 2019 et le 31 janvier 2020, bien avant que le coronavirus ne sévisse. Il a été retravaillé de multiples fois mais sans changer le canevas de base. Le jour où il a été imprimé, Donald Trump a été rattrapé par la Covid 19.
Source: https://joehartfield.be/
Témoignages
"C’est un livre sur l’amitié, l’amour … Son premier roman, écriture vive, prenante en phrases souvent courtes, d’images précises … est traversé par la douloureuse question du racisme, va d’émotions en sourires, de désespoirs en joies simples tandis qu’avance l’histoire du monde. Le dénouement de son titre est savoureux."
SYLVAIN SICLIER du Journal Le Monde
"Riche d’événements. Belle écriture, belle structure."
BRIGITTE DE MEEÛS de la célèbre librairie Tropismes
"Jean, tu es un écrivain! Ton style me rappelle mes auteurs américains préférés: l’attention au choix des mots, la capacité à créer des ambiances, les apports culturels. Les “bouquettes” au Montana restent un des catapultages interculturels les plus étonnants de ma vie de lecteur."
JEAN-LOUIS BAUDOIN, jazzman
"J’ai dévoré avec passion ce livre à l’écriture fluide et riche qui m’a transportée dans le temps et l’espace. Difficile de faire la part entre l’imaginaire et le vécu (c’est le jeu…!) tellement les personnages sont vrais. Attachants à la fois par leur aptitude au bonheur et par leurs failles."
LAURENCE X, citoyenne de Laborel
"Délicieuse fresque ! J’ai vraiment “eu bon”, par moments très bon, et je me suis vite attaché à la galerie de personnages. C’est une réussite totale. Merci !"
FRED JANNIN, dessinateur et humoriste
"Le roman laisse une trace rémanente longtemps après avoir refermé la dernière page, ce qui est toujours un gage de sincérité et de profondeur."
PIERRE DULIEU de Dragon Jazz
Laborel Publishing
ISBN : 978-2-8052-0551-4
320 pages
In case you LIKE us, please click here:
Hotel-Brasserie
Markt 2 - 8820 TORHOUT
Silvère Mansis
(10.9.1944 - 22.4.2018)
foto © Dirck Brysse
Rik Bevernage
(19.4.1954 - 6.3.2018)
foto © Stefe Jiroflée
Philippe Schoonbrood
(24.5.1957-30.5.2020)
foto © Dominique Houcmant
Claude Loxhay
(18/02/1947 – 02/11/2023)
foto © Marie Gilon
Pedro Soler
(08/06/1938 – 03/08/2024)
foto © Jacky Lepage
Special thanks to our photographers:
Petra Beckers
Ron Beenen
Annie Boedt
Klaas Boelen
Henning Bolte
Serge Braem
Cedric Craps
Christian Deblanc
Philippe De Cleen
Paul De Cloedt
Cindy De Kuyper
Koen Deleu
Ferdinand Dupuis-Panther
Anne Fishburn
Federico Garcia
Jeroen Goddemaer
Robert Hansenne
Serge Heimlich
Dominique Houcmant
Stefe Jiroflée
Herman Klaassen
Philippe Klein
Jos L. Knaepen
Tom Leentjes
Hugo Lefèvre
Jacky Lepage
Olivier Lestoquoit
Eric Malfait
Simas Martinonis
Nina Contini Melis
Anne Panther
Jean-Jacques Pussiau
Arnold Reyngoudt
Jean Schoubs
Willy Schuyten
Frank Tafuri
Jean-Pierre Tillaert
Tom Vanbesien
Jef Vandebroek
Geert Vandepoele
Guy Van de Poel
Cees van de Ven
Donata van de Ven
Harry van Kesteren
Geert Vanoverschelde
Roger Vantilt
Patrick Van Vlerken
Marie-Anne Ver Eecke
Karine Vergauwen
Frank Verlinden
Jan Vernieuwe
Anders Vranken
Didier Wagner
and to our writers:
Mischa Andriessen
Robin Arends
Marleen Arnouts
Werner Barth
José Bedeur
Henning Bolte
Erik Carrette
Danny De Bock
Denis Desassis
Pierre Dulieu
Ferdinand Dupuis-Panther
Federico Garcia
Paul Godderis
Stephen Godsall
Jean-Pierre Goffin
Claudy Jalet
Chris Joris
Bernard Lefèvre
Mathilde Löffler
Claude Loxhay
Ieva Pakalniškytė
Anne Panther
Etienne Payen
Jacques Prouvost
Yves « JB » Tassin
Herman te Loo
Eric Therer
Georges Tonla Briquet
Henri Vandenberghe
Iwein Van Malderen
Jan Van Stichel
Olivier Verhelst